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Les adieux à l'Impératrice

Dans le cadre du bicentenaire de la mort de Joséphine

Le 29 mai 1814, l’impératrice Joséphine meurt d’une angine infectieuse, après une quinzaine de jours de maladie. En cette période bouleversée qui vient de voir la chute de l’Empire et le retour des Bourbon, la nouvelle aurait pu passer inaperçue, mais c’est une foule immense qui se presse à Malmaison, puis dans l’église de Rueil pour lui rendre un hommage auquel s’associent de nombreuses personnalités et les représentants des souverains alliés qui occupent encore la France.

Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Oeuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.

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Le 29 mai 1814, l’impératrice Joséphine meurt d’une angine infectieuse, après une quinzaine de jours de maladie. En cette période bouleversée qui vient de voir la chute de l’Empire et le retour des Bourbon, la nouvelle aurait pu passer inaperçue, mais c’est une foule immense qui se presse à Malmaison, puis dans l’église de Rueil pour lui rendre un hommage auquel s’associent de nombreuses personnalités et les représentants des souverains alliés qui occupent encore la France.

Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Oeuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.

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Le 29 mai 1814, l’impératrice Joséphine meurt d’une angine infectieuse, après une quinzaine de jours de maladie. En cette période bouleversée qui vient de voir la chute de l’Empire et le retour des Bourbon, la nouvelle aurait pu passer inaperçue, mais c’est une foule immense qui se presse à Malmaison, puis dans l’église de Rueil pour lui rendre un hommage auquel s’associent de nombreuses personnalités et les représentants des souverains alliés qui occupent encore la France.

Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Oeuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.

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Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Oeuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.

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Le 29 mai 1814, l’impératrice Joséphine meurt d’une angine infectieuse, après une quinzaine de jours de maladie. En cette période bouleversée qui vient de voir la chute de l’Empire et le retour des Bourbon, la nouvelle aurait pu passer inaperçue, mais c’est une foule immense qui se presse à Malmaison, puis dans l’église de Rueil pour lui rendre un hommage auquel s’associent de nombreuses personnalités et les représentants des souverains alliés qui occupent encore la France.

Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Oeuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.

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Le 29 mai 1814, l’impératrice Joséphine meurt d’une angine infectieuse, après une quinzaine de jours de maladie. En cette période bouleversée qui vient de voir la chute de l’Empire et le retour des Bourbon, la nouvelle aurait pu passer inaperçue, mais c’est une foule immense qui se presse à Malmaison, puis dans l’église de Rueil pour lui rendre un hommage auquel s’associent de nombreuses personnalités et les représentants des souverains alliés qui occupent encore la France.

Il faudra attendre onze ans pour qu’un tombeau lui soit construit dans cette même église. Œuvre de l’architecte Louis Martin Berthault et du sculpteur Cartellier, il doit être digne de Joséphine, en évitant, cependant, toute allusion trop directe à la dignité impériale de la défunte. À l’occasion du bicentenaire de la disparition de Joséphine, l’exposition se propose d’évoquer l’événement et ses suites à travers de nombreux objets, prestigieux ou modestes témoins, et une galerie de portraits de ses protagonistes. La présentation du contexte historique et des difficultés rencontrées par le prince Eugène, la reine Hortense et leurs chargés d’affaires en France remettra en perspective les projets de tombeaux connus à ce jour.


 

Commissariat :
Alain Pougetoux, Conservateur en chef, musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau


 

Contacts presse :

Cécile Holstein
cecile.holstein@culture.gouv.fr
01 41 29 05 68


 

Publication musée national des châteaux de Malmaison et Bois-Préau :
catalogue de l’exposition : 48 pages, 10€


 

Autour de l'exposition : 

Visites-conférences
du 16 novembre au 1er février 2015

Visite en langue des signes
Samedi 10 janvier à 14h30

Midi de Malmaison : Funérailles impériales
Conférence par Alain Pougetoux, Conservateur en chef au musée national du château de Malmaison, commissaire de l'exposition
Vendredi 12 décembre à 12h30